La bataille d'Alésia (6eB)
Voici quelques récits expliquant ou racontant la bataille d'Alésia (52 av. JC) livrée par les Romains aux Gaulois :
"Alésia est située sur une hauteur pour se protéger des attaques ennemies. Vercingétorix garde auprès de lui des hommes chargés de provoquer un soulèvement de la Gaule entière qui obligerait les Romains à disperser leurs forces et à traverser le territoire. César fit construire deux lignes de fortification autour d'Alésia : la première ligner pour empêcher les Gaulois de sortir de la cité ; la seconde pour les priver de l'arrivée de renforts. Après deux mois de siège, les vivres étant quasiment épuisées, les Gaulois rendirent les armes." (Marina Mateu)
"Jules César et les Romains, durant la conquête de la Gaule, font le siège d'Alésia en -52, où se trouvent les Gaulois et leur chef Vercingétorix. Les Romains ont construit des fortifications avec des palissades, des tours, des fossés, des pieux enfoncés dans le sol. Ils empêchent ainsi les Gaulois de recevoir de l'aide et de sortir d'Alésia. Ils sont pris au piège. Vercingétorix offre à l'assemblée des Gaulois le choix de sa vie ou de sa mort pour apaiser les Romains. Les Gaulois livrent Vercingétorix aux Romains ; ce dernier jette ses armes aux pieds de Jules César". (Khéane Vanni)
" Nous étions en 52 av.JC à Alésia. Autour de nous se trouvaient des remparts romains bien gardés. Il y avait notre petit village. Nous étions entourés de fortifications romaines, constituées de tours et de palissades ; entre deux fortifications, se trouvait le camp romain avec ses tentes. Il y avait aussi des chevaux. Derrière la dernière fortification, se trouvait un fossé et des trous où étaient plantés des pieux. Toutes ces précautions étaient prises pour ne pas laisser d'autres Gaulois nous secourir. Au bout d'un certain temps, les Gaulois parmi nous qui ne purent se nourrir à leur faim moururent. D'autres restèrent faibles ; Vercingétorix, qui ne voulait laisser son peuple disparaître décida de se rendre. Avec ses hommes, il déposa ses armes aux pieds de César qui les fit prisonniers". (Pomeline Chataigner)